je solaire les pentes futiles
qui coulent dans les boyaux
je fils sans l’élastile
surtombe dans le bourbaux
je nombril la branche forgée
agrippente par millions
des tétons sanitorgés
où coule le laid à foison
je suis pieux unique
je maître la ronde embrisée
je folie le pathétique
je soufflet sur la cendrée
hG
Une pensée en ce jour
RépondreSupprimergros bisous l'ami