Robertino – Roberto Alagna pour les
amis de la chose – s’est encore ridiculisé, avant hier soir, sur la scène de
l’opéra de Paris en - sous prétexte de maladie - faisant un couac au 2e acte et en
chantant le 3 et le 4 en parlant, faute de voix modulante. Et ce n’est pas la
première fois. Le public – un tas de misérables ânes – a applaudi le couac et a
ovationné le soi-disant artiste après qu’il eu poignardé la jolie dame sexy et
intelligente qui ne voulait pas de lui - et je la comprends -. Peu importe. Je n’en fais pas une
maladie alors qu’elle est assurément d’importance et j’ai tout a fait
conscience que les plus grand ont toujours eu des failles, ont souvent couaqué
et ont souvent chanté pas vraiment comme il le faut. Mais là, il s’agit d’un petit et c’est
impardonnable. Et ce qui est encore plus impardonnable, ce sont les
scribouillards des presses parisiennes
spécialisées qui n’ont pas hésité à tarir d’éloges sur le coupable et à lui
décerner toutes les mentions les plus brillantes pour son exploit qui aura
consisté à avoir réussi à aller jusqu’au bout – le coup de poignard dans le
ventre de l’innocente – sans chanter une note tout en provoquant une émotion
contagieuse qui a fait couler à flot des milliards de larmes qui ont endommagé
la moquette de notre illustre Bastille. Le métier de critique est l’hologramme
–le mot est à la mode, je l’ai déjà dit –du métier de politicien. Il ne faut
dire que ce qui rapporte et rapporte des avantages. Pour des raisons que
j’ignore absolument, critiquer Robertino est passible d’emprisonnement et de
sévices en détention. Je vous en donnerai tous les détails quand j’aurai été
arrêté. Mieux j’écrirai un livre et Sade en mourra de jalousie et c’est dommage
parce que je l’aime bien. Et puis, là ou j’enrage, c’est que Kaufmann, un des
plus grands ténors actuels – même s’il en baisse actuellement et paraît avoir quelques difficultés à
honorer ses contrats – est en permanence dans le viseur de la pègre
scribouillarde qui lui reproche sa simplicité, sa courtoisie, son bonheur
communicatif et l’originalité de sa voix barytonante qui le rapproche – à mon
sens – du grand, de l’immense et de l’incomparable Placido Domingo.
S’il vous prend l’envie d’aller à
l’opéra surtout ne lisez pas les torchons parisiens. Contentez-vous de vous
faire votre propre avis et vous qui croyez ne pas savoir, sachez que vous aurez toujours raison d'avoir votre avis. Et si votre curiosité l’emporte lisez tout les
âneries que vous voulez mais surtout évitez forumopera.com qui est le sommet de
la bêtise, de la vantardise et de l’insulte aux interprètes de l’art lyrique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire