Quoiqu’en disent les moutons, les soumis,
les godillots de l’enfant Roi de France,
le monarque a pris hier sa première gifle, celle que sa mère aurait dû lui
donner le jour où il a ouvert la bouche pour la première fois, et ça s’est passé
au Sénat. La vague royale s’est échouée sur les falaises des vieux briscards et
leur victoire sera complète et salutaire si les deux partis gagnants – LR et PS
– respectent intégralement et sans discussions les usages de l’opposition qui
consiste évidemment à s’opposer quelles qu’en soient les circonstances. Mais
cela, avec des pourris de ce genre, est loin d’être sûr. Le Roi n’a pas la
majorité au Congrès et c’est cela qui est important et c’est dans cette
situation qu’il faut le laisser pour tenter de briser sa course folle vers un
trône impérial pour être l’égal de Napoléon. Mais qui peu croire un élu ?
Beaucoup sont capable de devenir – comme en veut l’usage – des immondes
lèches-cul et de rallier le Roi pour espérer un jour pénétrer l’Elysée qui dans
tous les cas et depuis toujours, à été la seule à pénétrer sans consentement.
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