Mon aversion mélenchoniste ne
saurait cacher mon dégoût pour l’enfant, le Roi de France, Roi Macron. Il est
le pire de tous les Rois que la France ait infligé à son peuple depuis
longtemps parce qu’il est un enfant mal élevé ne fonctionnant que sous les
jupes de sa maman, un enfant gâté qui n’a jamais travaillé, un philosophe de
mon cul qui prend ses désirs caractériels pour des réalités. Mais pourquoi
gloser indéfiniment sur le plus ou moins pire des Rois et de leurs godillots
décérébrés, alors que l’identité même de la République et de la Démocratie est
l’ignorance de cette fonction, l’impossibilité de la représentativité et le
bannissement du chef-héros-dictateur qui entraîne les foules anémiés,
dépossédés, culpabilisantes, soumises et obéissantes. La démocratie – quand
elle sera inventée -, sera la gouvernance du peuple par le peuple selon un mode
linéaire et horizontal. Aussi pour renverser le Roi et lui trancher la tête, il
ne faut pas un homme – ou une femme – ou un enfant – qui a l’ambition de
prendre la place du Roi. Il faut un ensemble d’idées, puisées dans toutes les
couches sociales, qui établisse un équilibre en ceux qui ont tout et ceux qui
n’ont rien, entre la lumière et l’ombre, entre le noir et le blanc. Il n’y a
aucune autre solution si nous souhaitons un jour vivre tous ensemble, sans le
mensonge, sans la perversité. Avant de courir sur les pavés, les gens révoltés
– à juste raison – feraient bien d’y penser.
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