la femme à la bûche
près de la cheminée
égrène les identités
des codes qui trébuchent
les mots sont usurpés
par ceux qui les prononcent
au travers des meutes de ronces
pour choir dans les fossés
les mensonges boutés par la vague
engloutissent les pensées
qui hors des vérités
périssent par la dague
nous sommes et ne sommes pas
traversons sans bouger
si nous savons discerner
ce qui est et ce qui n’est pas
hG
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