Les mauvaises langues, ceux qui
critiquent toujours tout alors qu’ils ne votent pas alors qu’ils ont la rare chance
d’être en démocratie grâce à leurs grands pères qui leur ont donné le droit de
vote c’est à dire de s’exprimer et d’exiger que leurs quatre volontés soient respectées,
les mauvaises langues disais-je, ne sont jamais contentes alors que
l’optimiste, le sourire, la joie, le partage, l’amour du prochain, le don de
soi, l’égalité des chances, le chant des petits oiseaux, JésusMarieJoseph, tout
ce que cette France, le pays envié par tous les habitants de cette terre et par
les autres aussi, leur apporte chaque jour. Heureusement je ne suis pas de ceux
là. Je suis un jeune battant, je vote chaque matin, j’admire et je soutiens ces
femmes et ces hommes qui travaillent pour notre bonheur, tous ces merveilleux
Hollande, Fillon, Philippe, Le Maire, Valls, Jupé, Royale, Le Pen, Debré,
Napoléon, Marie-Antoinette, Copé, El Khomri, Chaban-Delmas, Sarkozy, Hulot,
Morano, et tout le reste trop long à citer. Mais mon héros, mon modèle, mon
Dieu vivant, mon Wagner, mon Hitchcock, mon Freud, c’est le nouveau Roi,
l’enfant-Roi, Roi Macron, Roi de France, Jupiter descendu des cieux en
montgolfière, celui qui va tenir sa parole – enfin ! - :
« Laissez venir à moi les petits gros riches … épargnez-moi
les gros petits cons pauvres ! ». Ce héros de légende à raison :
il faut vraiment être con pour être pauvre… et encore plus con pour ne pas être
Roi !
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