Deux jours après l’élection
Hamon-Valls on est toujours dans le tripatouillage naturel à tout ce qui
s’inscrit dans la sphère politique. Ces gens ne connaissent pas les lois simples
et naturelles et persistent à les pervertir par leurs peurs permanentes de ne
pas être admirés et glorifiés sur le piédestal des cimetières. On ne connaît
toujours pas le nombre de votants qui à changé multiples fois depuis dimanche soir
et surtout, il reste – incroyable mais vrai – 5% des bureaux de vote qui n’ont
pas donné leurs résultats. Et pendant ce temps, Valls, le grand perdant,
vocifère et ressort sa colère et sa haine envers tout ce qui ne lui lèche pas
les pieds. Et il sort ses dents pointues et sa langue fourchue de ses joues
rouges cerises trop mûres, pour terrasser – je n’en vois pas la raison – son
frère d’arme et ami d’enfance. S’il avait fait une analyse – ce
que tout le monde devrait faire -, il saurait ô combien il s’insulte lui-même
et se flagelle à profusion, lui qui est le seul coupable de sa défaite en
raison des mensonges permanents qu’il s’adresse à lui-même depuis des décennies
– probablement depuis son enfance-. On
ne peut pas faire de la politique et être honnête. Il faut savoir choisir.
Le futur Roi de France s’est
invité, hier soir, à la table de sa future consœur, la Reine de l’Allemagne. Ce
n’est qu’une information au cas où cela vous aurait échappé. Ils sont touchants
ces deux adolescents attardés…
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