La justice est encore sous influence.
Le procès Tron en est la preuve. Les avocats de la défense ont eu raison – pour
le moment – de ce procès qui aurait dû envoyer l’accusé tout droit à l’hôpital
psychiatrique – et surtout pas en prison – pour de longues années de soins
intensifs. Et la question reste posée : pourquoi ce malade comparait-il en
liberté ? Il est tout à fait capable de récidiver puisque incapable de se
maîtriser et recommencer ainsi à caresser les pieds des naïves pour mieux remonter
ses mains sous les jupes des filles…
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