La politique du Roi de France continue
sa destruction massive. Il me semble avoir entendu sur les ondes deux inepties
ravageuses qui renforcent mes convictions sur la bêtise monstrueuse de l’homme
– la femme est comprise dans le mot -. Suite à un divorce, la garde alternée
des enfants serait de mise et la ponte d’un marmot donnerait obligatoirement au
père deux mois de congés payés. Les scandales s’ajoutent aux scandales. Tout
d’abord, et ceci explique cela, quel rapport peut-il y avoir entre un homme qui
a fourré son zizi dans un ventre féminin et l’enfant à naître ? L’enfant
est le fruit de la femme-mère, la chair de sa chair, et c’est à elle de prendre
en charge ce qu’elle a voulu - ou pas -
fabriquer. C’est à elle que revient la charge du boulet, c’est à elle de l’éduquer,
c’est à elle de lui montrer le chemin. L’homme n’est que l’eau qui arrose la
graine et qui après avoir accompli le strict nécessaire ne peut que se retirer.
Aussi, je ne vois pas pourquoi il doit mettre son grain de sel dans le
processus rapport mère-enfant, et s’offrir deux mois de congés payés simplement
pour déstabiliser le processus engagé. De même que la garde alternée, stupide
et indécent système pour déstabiliser l’enfant dont le psychisme est en
formation, doit être bannie dans tous les cas. L’enfant doit impérativement
être confié à la mère et en cas d’impossibilité de quelques sortes que ce soit,
remis au père si celui-ci a la formation nécessaire ou, mieux, à l’assistance
publique, qui sera plus à même – si elle remplit ses obligations – de faire
pousser la plante vive. Je rappelle qu’être mère – ou père dans quelques cas –
est un métier et que cela implique une formation complète et élaborée et qu’un
diplôme, après des études astreignantes, devrait être exigé pour avoir
l’autorisation de pondre. Je ne vois pas beaucoup – pas du tout en fait –
autour de moi des « adultes » conscients de la chose, et conscients
du fait que l’enfant qu’ils mettent au monde n’a rien demandé et surtout pas
demandé à rejoindre ce monde de débiles dans lequel nous sommes croqués, avalés
et digérés par les monstres des pouvoirs de toutes sortes. Aujourd’hui, il n’est
plus possible de pardonner à celles qui créent la vie, parce que la vie est un
lieu de mort.
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