Depuis l’arrivée du nouveau
Roi sur le trône de France, l’ignominie restait encore cachée. Elle vient enfin
de se dévoiler. On entre dans l’aire du pire et on ne fait qu’y entrer. Les
godillots, les robots de l’enfant-Roi, ont voté la loi scélérate qui poignarde
les retraités, la hausse de la CSG. Et en même temps, on supprime les
cotisations maladie et chômage pour les salariés du privé. Autrement dit, alors
que j’ai été obligé, pendant toute ma vie active, de cotiser – un prélèvement
mensuel faramineux – pour m’assurer d’avoir un toit et de pouvoir me nourrir
pendant les dernières années de ma vie, je dois aujourd’hui refiler mon fric à
des gens qui ont la chance d’avoir un travail, d’être jeune et d’être en bonne
santé. Le Roi considère que seul un « actif » à droit à la
reconnaissance et que tous les restes, ces sales vieux qui emmerdent le monde,
doivent simplement crever. Oui, Roi, je vais bientôt crever. C’est pourquoi
avant de retrouver mon cher néant que ma mère m’a volé, laisse moi te dire ce que
je pense de toi : tu n’es qu’une petite merde et ceux qui t’on porté sur
le trône sont des gros connards qui ne valent pas mieux que toi. Et puis pour
justifier ma colère, je signale – au cas où personne n’en aurait été informé - que
selon une enquête de « 60 Millions
de consommateurs » et de l'Union nationale des associations familiales
(Unaf), les commissions pour incidents de paiement se multiplient et rapportent
6,5 milliards d'euros par an aux banques françaises, des milliards sur le dos
des clients en difficulté. Et ce n’est pas le Roi qui sort des jupes des
banques qui va mettre fin à ce scandale. Les pauvres, les vieux, les retraités,
sont des parasites que la godilloterie royale, sous l’autorité du monarque, veulent
éliminer. Alors soyons fiers camarades ! Donnons-nous la mort avant que ce
salaud force notre porte…
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