dimanche 10 septembre 2017

vu à travers le tube @ la stupidité qui gâche tous les paysages…


Le problème avec l’enfant-Roi, Roi de France, c’est l’illisibilité sur son visage couvert d’un masque glacial flanqué d’un demi-sourire en trompe-l’œil, doublé d’une curieuse relation avec une vieille dame qui pourrait bien être un paravent pour camoufler un trait de sa non-personnalité. Le problème de Marine Le Pen qui, hier, est sortit de sa dépression pour convaincre ses fans qu’elle est toujours en vie, c’est son visage bouffi qui a pris de nombreuses rides , pas très engageant pour l’avenir. Marine, c’est fini. Elle a rabâché le discours de son père sans en changer une seule ligne. Elle promet un changement. J’espère que ses admirateurs ont appris que la promesse d’un politique est toujours une tromperie. Elle veut être la première force d’opposition à l’enfant et pour cela elle insulte Mélenchon qui en profite pour vomir sa hargne sur la pauvre femme alors que la seule cible pour tous cerveaux combattant le Roi, c’est le Roi, rien que le Roi. Mélenchon ne le sais pas. Mélenchon ne sait pas.

Pour inventer la démocratie, il faut avoir la connaissance, le savoir, la culture, le désir et l’énergie de réconforter les innombrables terriens qui n’ont pas la chance de certains, en créant un nouveau monde dont la règle sera basée sur le désir et la conception de celui qui n’a rien. C’est toujours en partant de rien que l’on construit les édifices les plus solides, parce qu’ils échappent au vécu et aux préjugés stupides. Aujourd’hui, et de part le désir du Roi, il n’y a plus de droite, il n’y a plus de gauche, il n’y a plus d’opposition – c’est pour cela qu’il faut bien prendre soin des journalistes, même des plus odieux -, il ne reste que les riches et les pauvres. C’est donc le seul problème qu’il faut régler en décrétant – par ordonnances, pourquoi pas ? – que les riches sont interdits de territoire et les pauvres aussi. Je viens d’ébaucher une réforme, la seule qui soit plausible. Et c’est à la jeunesse que je la confie. Moi, je pars. Je pars pour toujours dans mon cher néant – d’où je viens – et où - ô joie ineffable ! - je ne rencontrerai plus jamais l’être humain, la stupidité des stupidités qui gâche tous les paysages…  


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