mardi 26 septembre 2017

vu à travers le crime @ le mouroir des prisons…


Au diable – pour ce matin seulement – la politique politicarde qui avilit le monde. Je la laisse, le temps d’un instant, pour m’intéresser à la politique vérité qui n’est que la conséquence de la pauvreté, fléau absolu de l’humanité, auquel personne n’a la volonté de s’attaquer. La prison de Nîmes a plus de 400 détenus pour environ 130 places. Aussi, quatre prisonniers viennent de ce révolter en attaquant en justice de préfet de la région pour mise en danger d’autrui. Le godillot de la République comparait aujourd’hui. Quelque soit la vindicte générale et populaire, l’homme privé de liberté est derrière les barreaux pour purger sa peine. Quelque soit son délit l’homme est un homme, c’est à dire une personne humaine comme vous et moi – moi je suis humain, vous je ne sais pas -. Et ce n’est pas parce qu’il a commis un acte interdit par la loi – qu’est-ce donc la loi ? – qu'il doit être traité comme une bête. Lorsque qu’on donne un coup de pied dans le cul d’un chat ou d’un chien – une bête – des millions d’individus crient au scandale alors qu’il ne s’agit que d’un coup de pied au cul et que d’une bête. Mais lorsque l’homme est enfermé dans un mouroir, tout le monde se tait et presque tout le monde souhaite sa mort. Pouah ! La sale race… J’espère que les quatre contestataires vont être entendu, que la justice relaxera le préfet, bien qu’il n’avait pas le droit d’obéir aux ordres et que le seul chef, le Roi de France, l’enfant, Roi Macron, sera châtié à la hauteur de son crime et pour cela je ne vois que… la guillotine !


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