Aujourd’hui commencent les des-concertations entre les godillots et les syndicats – tous aussi godillots –
sur la loi qui donnent tous les pouvoirs aux patrons qui, c’est significatif,
sont reçus en premier pour décider de notre sort. La place des syndicats, dans
une monarchie totalitaire, pour ne pas dire une dictature, n’est pas autour
d’une table, mais dans la rue. L’enfant-Roi ultra minoritaire dans le pays, a
gagné d’avance. Et pendant ce temps, les communes qui avaient pris des
engagements pour les associations, les activités des enfants, jettent l’éponge.
Le Roi de France leur retire le peu que ses prédécesseurs leur accordaient.
L’avenir d’un pays c’est sa jeunesse… et c’est le respect de ses vieux. Ce sont
eux que le monarque tout puissant à dans son collimateur. Il ne veut plus de
cette race infâme qui l’empêche de briller au milieu des siens : les Dieux
de l’Olympe, les âmes de l’Enfer…
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