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Maison close en 1930 à Paris |
Depuis que j’ai créé mon
nouveau Facebook – à peine une dizaine de jours – je ne peux ouvrir mes pages
« benji » ou « accueil » sans que le réseau social pourri
ne cesse de me proposer de nouveaux amis ou amies qui sont, en fait, quasi toutes
des femmes à poils. Mes pages sont envahies de nichons terrifiants et de
grosses fesses puantes. C’est à vomir, d’autant qu’il ne peut s’agir que
d’innombrables réseaux de prostitution et de femmes qui cherchent du fric
auprès de la crédulité masculine. Et dire je j’ai été viré de ce
« fessebouc » parce que j’avais posté deux photos de femmes seins
nus, pour l’une un tableau de maître, pour l’autre un chef-d’œuvre du cinéma,
et que sans un stratagème d’une complexité indénouable, je n’aurais jamais pu me
retrouver ici. Facebook est bien un réseau « social » qui représente
admirablement l’imbécillité et la crasse de la société. Et si j’ai réussi à y revenir –
après ce texte vous ne m’y verrez sans doute plus si la Gestapo me repére –
c’est que j’ai ici quelques amis qui me sont chers et dont j’aurais de la peine
à me séparer. Vous qui me lisez « Adieu ! », ou à tout à
l’heure… c’est selon !
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