Que penser de ces nouveaux
godillots à l’assemblée qui ont été rejoints par les anciens esclaves
d’Hollande, Sarkozy, Chirac, Mitterrand, peut-être Giscard, et qui forment une
armée de robots primaires déconnectés, qui ont pour mission de terrasser l’ennemi
fourbe, cannibale, sadique, vampire, assoiffé de sang, celui qu’on dit à droite
de la droite ou à gauche de la gauche, le djihadiste extrémiste qui a pour
nom : Mélenchon-Le Pen ou Le Pen-Mélenchon, selon… Le Pen paraît bien
malade et je crois savoir qu’un prêtre est à son chevet. Mais Mélenchon reste
un danger pour notre grande et belle monarchie et son Roi tout surpuissant,
l’enfant Roi, Roi de France Roi Macron, qui n’est que le déguisement de
Jupiter. Plus il vieillit, plus il aiguise ses dents – Mélenchon bien-sûr – et
je crois savoir aussi, que c’est lui le loup du conte du loup qui a mangé la
grand-mère. Je n’ai pas voté pour lui puisque la morale et mon intime
conviction rejettent l’élection monarchique et depuis que j’ai écouté de
discours d’Attali – sale type que je vomis – (*), j’en suis encore plus fier.
Cependant j’espère de tout cœur que le grand méchant loup rameutera la meute de
son espèce et qu’elle profitera d’un coup de tonnerre pour s’introduire où il
faut pour dévorer cette misère qui empeste la terre. Pour sauver l’univers –
insauvable, c’est évident – il ne faut, dans le dictionnaire, que garder un
seul nom : NON !
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