Elles
s’y sont mises à plusieurs les donzelles amoureuses transites du plus mauvais
ténor que l’art lyrique ait connu – et pourtant, il en a connu – pour
m’insulter, me traiter de tous les noms parce que j’ai l’audace et le courage
de dire que je vomis Robertino le petit, l’hologramme du Mariano de Mexico, et
que je méprise son chant, sa voix, sa culture, sa stature et son esprit trop
petit pour s’imposer sur une scène d’opéra. Que les demoiselles damoiselles
vertueuses et comiques si elles n’étaient pas aussi tristes et aussi incultes,
pensionnaires du couvents des frustrées ignorantes, écoutent une seule note de
Vanzo…. et l’affaire est réglée !
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