mardi 30 mai 2017

vu à travers le tube (bis) @ que de larmes à venir…


Pour Virginie Despentes, les riches veulent la peau des pauvres. Les capitalistes n’en ont rien à foutre d’éradiquer la misère en supprimant le prolétariat, en faisant disparaître des millions de démunis qui leur pourrissent la vie. Il suffit de leur couper l’eau et de les repousser dans les coins insalubres…

On ne peut que saluer la lucidité de l’écrivaine. On ne peut saluer par contre les fous de Dieu, subjugués par le petit Roi programmé pour ériger sa statue, au mépris de la population qui s’est trompée en le prenant pour le sauveur que l’humanité attend depuis sa création. Que de larmes à venir… que de souffrances à supporter !


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