Pour Virginie Despentes, les riches
veulent la peau des pauvres. Les capitalistes n’en ont rien à foutre
d’éradiquer la misère en supprimant le prolétariat, en faisant disparaître des
millions de démunis qui leur pourrissent la vie. Il suffit de leur couper l’eau
et de les repousser dans les coins insalubres…
On ne peut que saluer la lucidité de
l’écrivaine. On ne peut saluer par contre les fous de Dieu, subjugués par le
petit Roi programmé pour ériger sa statue, au mépris de la population qui s’est
trompée en le prenant pour le sauveur que l’humanité attend depuis sa création.
Que de larmes à venir… que de souffrances à supporter !
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