Lyon, ma ville d’adoption, est pour
deux jours le centre de la France. Trois prétendants au trône vont s’y croiser
sans se regarder, sans se parler, sans se saluer, et tous les trois vont vanter
la marchandise qu’ils voudraient nous faire avaler. Désolé, mais moi, j’achète
tout chez Leclerc qui est devenu mon ami et mon frère que je n’ai pas l’intention
de quitter pour aller, ailleurs, acheter des produits avariés. A Lyon, ce
week-end, on y verra Le Pen – Marine depuis quelques semaines – et son retour à
la peine de mort ; Macron qui a réussi – seul Moïse l’a fait avant lui – à
fendre la mer pour atteindre – à pieds - l’autre rive ; et Mélenchon le
bougon illusionniste qui sera à Paris en même temps. Et pendant ce temps,
Fillon tente de détricoter la toile que Pénélope a tissé et laisse dans l’angoisse tous
ceux qui ont cru qu’un politique sans casseroles était chose possible. Cette
élection du Roi est compromise et c’est bien normal parce qu’un Roi n’est pas
éligible. Le trône est son droit.
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