Terrifiant,
aberrant, surréaliste et comme toujours et comme tous ces débats politiques,
machine impitoyable à broyer les pensées pour n’en faire qu’une ou aucune, cette foire
d’empoigne nommée « C Politique » arbitrée par le consensuel Bruce
Toussaint. Hier, parmi d’autres invités, le numéro Parisot-Besancenot était
affligeant. Besancenot, l’éternel dernier qui a toujours été le seul à analyser
et à comprendre les rouages de la société, a su - comme à son habitude – parer
la violence de la finance rongée par les rats affamés d’une Parisot toujours
aussi bornée et à côté de la plaque qui prétend sauver le monde en héroïsant
les entreprises qui sont le siège même de l’inégalité : patrons sur-payés
contre ouvriers sous-payés. Elle est de cette race des Fillon-Macron qui
vomissent tout ce qui ne tient pas par le fric et qui un jour ou l’autre
tomberont sous le couperet de la guillotine que le peuple aura réinstallé sur
la place publique. Besancenot est – et a toujours été – le sage qui sait et qui
dit ce qu’il sait et qui sait aussi que ceux qui savent ne sont jamais
entendus.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire