Pendant
que Pénélope continue de tisser sa toile sans savoir si elle pourra la terminer
et si elle devra la détisser parce que non conforme à la loi, Macron a fait sa
grande entrée, deux heurs durant – sur France Inter. A-t-il bluffé aux
questions de Cohen et de ses compères où a-t-il été vraiment sincère ? Moi
qui ne suis que saltimbanque musicien je n’ai pas compris tout ce qu’il a dit
puisqu’en fait je n’ai rien compris. Heureusement, Charline et son copain puis Nicole
Ferroni ont été réquisitionnés pour traduire la langue des signes. Cela m’a
éclairé sur le discours de l’invité. Macron est donc un politique comme Fillon,
comme Mélenchon, comme Marine, comme Hamon. C’est un homme qui veut être Roi
comme Hollande ou Sarkozy, comme Louis XIV ou Napoléon l’ont été avant lui. Il
est donc difficile de choisir. Pour moi, ce mercredi 1e février aura
très mal commencé. Devant l’infamie du bordel dans lequel se trouve notre pays
à l’aube d’un nouveau règne totalitaire, devant le cauchemar terrifiant qu’ont
choisi les américains et devant le retour annoncé des dictateurs, j’ai eu ce
matin une mauvaise pensée qui a consisté à me faire croire que je serais bien
capable de me trahir en osant me convertir au hamonisme. Ce n’est ni une
religion, ni une secte. Ce n’est qu’un stupide et tout petit courant d’idées
qui me paraît être plus sympathique que toutes ces grosses envolées lyriques
qui hypnotisent les cerveaux… Stop ! J’ai changé d’avis. Je reste comme je
suis... même si ma sympathie… Non ! Je ne dois avoir de la sympathie… que
pour moi-même !
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