La vidéo de la très jeune chinoise, Soo-Been Lee - Wieniawski - Variations on an Original Theme Op 15. a fait l’objet d’un commentaire bien compréhensible et probablement très souvent partagé de la part d’une très chère amie Facebook : « je ne supporte pas d'exposer ,derrière les clicher , sûrement souffrance pour cette enfant pour arriver jusqu'ici , avant elles étaient dans les foires comme des animaux , maintenant modernisme, dans les salles de concert , comme les petites filles mannequins. » C’était ce matin vers 11 heures. Je lui ai répondu, bien sûr, avec une certaine désapprobation et vous pouvez le lire sur mon mur. Fait du hasard – auquel je ne crois pas – pour la première fois, après avoir écouter le vieux stupide Bayrou sur France 3, je suis allé sur Canal+ et, stupéfaction, je tombe à 13 heures 8 minutes sur l’émission de Daphné Roulier « L’Effet papillon » dont le sujet portait sur la musique en Chine et l’explosion des petits pianistes et violonistes dans les écoles de musique. Et c’est à Shanghai que le sujet a été tourné. Et nous avons pu voir comment cette incroyable nombre d’enfants passe du temps sur leur piano. Je n’ai pas vu de professeurs avec un fouet. je n’ai pas entendu de professeurs élever la voix. Je n’ai pas vu d’enfants traumatisés , bien au contraire, j’ai vu tout le contraire de ce qui se passe généralement dans nos écoles de musique et nos conservatoires français. Une pédagogie de groupe d’une incroyable efficacité et de plus des leçons particulières en alternances. J’ai même vu deux des plus brillants élèves du système – qu’on ne peut taxer de dépressif – Lang Lang et ma chère Yuji Wang. je ne peux tout raconter mais j’espère que vous irez sur le site de Canal voir le replay. Et je comprends mieux maintenant pourquoi nos enfants de peuvent rivaliser. C’est que là-bas, les enfants écoutent régulièrement de la musique et surtout les œuvres de leurs programmes jouées par les plus grands pianistes et professeurs, mais aussi que la convention incontournable c’est le travail journalier – choses complètement ignorées dans notre pays -. Et pour conclure le reportage nous dit : « Les petits Mozart ne viennent plus de Salzbourg, mais de Chine… ». Et ça je ne peux le nier !
dimanche 12 février 2017
le puits au fond du jardin @ le bonheur d’apprendre la musique en chine…
La vidéo de la très jeune chinoise, Soo-Been Lee - Wieniawski - Variations on an Original Theme Op 15. a fait l’objet d’un commentaire bien compréhensible et probablement très souvent partagé de la part d’une très chère amie Facebook : « je ne supporte pas d'exposer ,derrière les clicher , sûrement souffrance pour cette enfant pour arriver jusqu'ici , avant elles étaient dans les foires comme des animaux , maintenant modernisme, dans les salles de concert , comme les petites filles mannequins. » C’était ce matin vers 11 heures. Je lui ai répondu, bien sûr, avec une certaine désapprobation et vous pouvez le lire sur mon mur. Fait du hasard – auquel je ne crois pas – pour la première fois, après avoir écouter le vieux stupide Bayrou sur France 3, je suis allé sur Canal+ et, stupéfaction, je tombe à 13 heures 8 minutes sur l’émission de Daphné Roulier « L’Effet papillon » dont le sujet portait sur la musique en Chine et l’explosion des petits pianistes et violonistes dans les écoles de musique. Et c’est à Shanghai que le sujet a été tourné. Et nous avons pu voir comment cette incroyable nombre d’enfants passe du temps sur leur piano. Je n’ai pas vu de professeurs avec un fouet. je n’ai pas entendu de professeurs élever la voix. Je n’ai pas vu d’enfants traumatisés , bien au contraire, j’ai vu tout le contraire de ce qui se passe généralement dans nos écoles de musique et nos conservatoires français. Une pédagogie de groupe d’une incroyable efficacité et de plus des leçons particulières en alternances. J’ai même vu deux des plus brillants élèves du système – qu’on ne peut taxer de dépressif – Lang Lang et ma chère Yuji Wang. je ne peux tout raconter mais j’espère que vous irez sur le site de Canal voir le replay. Et je comprends mieux maintenant pourquoi nos enfants de peuvent rivaliser. C’est que là-bas, les enfants écoutent régulièrement de la musique et surtout les œuvres de leurs programmes jouées par les plus grands pianistes et professeurs, mais aussi que la convention incontournable c’est le travail journalier – choses complètement ignorées dans notre pays -. Et pour conclure le reportage nous dit : « Les petits Mozart ne viennent plus de Salzbourg, mais de Chine… ». Et ça je ne peux le nier !
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