Un dimanche de divertissement
avec la compilation des comiques drôlement tristement tragiques de la politique
où les vedettes étaient Fillon suivi – en raison de l’heure – par Hamon. Durant
les deux heures précédant l’entrée triomphale du héros de la mythologie des
chiottes, BFMTV nous a baladé en direct dans tous les coins de la Villette avec
des flopées de bavardages incongrus et déplacés qui voulaient à tous prix nous
dire ce que Fillon allait nous dire. Et la chaîne s’est trompée sur toute la
ligne. Fillon, tétanisé par une affaire de pénélopalisation, a seulement dit
qu’il avait un compte au Crédit Agricole et qu’il aimait Pénélope. Ce qui lui a
valu un tonnerre, un tsunami, un tremblement de toute la terre, provoqués par
les quinze-mille abrutis qui s’étaient déplacés pour lui. Il est vrai qu’il
peut dormir sur ses deux oreilles, Pécresse qui a parlé avant lui, lui a dit
qu’elle serait toujours là pour le protéger des méchants qui veulent le voir
tomber. Et puis, toujours sur BFMTV,
Hamon est apparu et a parlé pendant que Valls parlait. La télé à coupé l’image
et le son de son ancien patron pour lui donné la priorité. Hamon s’est sans
doute pris pour Mélenchon. Dans la goujaterie il est difficile de mieux faire.
Bon… Hamon a gagné. Bravo… et maintenant que va-t-il donc se passer ?
Le Pen, Fillon, Macron, Mélenchon, Hamon…
Quatre « on » pour une « en » . Il suffit de décaler
une voyelle et cela fait cinq « c-on » qui vont s’insulter pendant une
douzaine de semaines et cela, pour être Roi ! Pauvre France ! Pauvres
français…
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