Le Roi de France, Roi François n’est
plus. Il en a décidé ainsi en jetant l’éponge. Il lui reste une centaine de
jours à occuper son palais princier, le temps qu’un autre Roi le jette dans la
cour. Et que fait-il de ses jours ? Il parcourt le monde aux frais de ceux
qui sont exsangués par les impôts qu’il leur impose et de ceux qui sont à la
rue selon sa volonté. Et pour ne pas trop s’ennuyer, il remplit la fonction de
Roi, celle qu’il a eu et ignorée dont aujourd’hui il est dépossédé. Par
exemple, il téléphone à Trump, le colosse aux grandes dents acérées, pour le
sermonner sur les décisions qu’il prend et lui signifier que s’il continue ses
délires monstrueux, il va le mettre au piquet et même lui donner la fessée, cul
nu. Il est courageux votre bon et fier Roi François. Moi, je me dit qu’il
devrait renier sa promesse de prendre sa retraite et se présenter – en cachette
– à la prochaine élection royale qui a lieu dans trois mois. Je pourrais bien,
alors, retourner glisser mon papier cul – j’en ai encore deux rouleaux – dans
la fente de la boite à coucou - symbole éblouissant de la monarchie totalitaire
française - et y inscrire en lettre de sang : « Je désigne pour
souverain et maître absolu, François H., le seul qui a le courage d’affronter
le dragon ». Moi, je crois que votre regretté Roi, va, quand, dans la
nuit, il prend son scooter, directement
à l’opéra. On y donne « Siegfried » en ce moment.
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