mardi 14 mars 2017

vu à travers le tube @ la vermine pestiférée persiste !


Comment un homme qui
aura vécu sa vie dans la cage hermétique de la politique, à l’abris de tous soubresauts, dans l’aisance permanente pour lui et sa famille et dans l’ignorance totale des sombres réalités de la vie, pourrait-il comprendre la condition exécrable du peuple qui renvoie à celle des serfs suants et trébuchants sous le joug des seigneurs du Moyen-Âge. Si je pense à Fillon c’’est  parce qu’il fait la une, parce que des Fillon il y en a – il y en a eut et il y en aura – plein à la cour du Roi et dans toutes les cours du royaume de la plus insignifiante à la plus tragique. Et tout ça ne serait rien s’il n’y avait pas ces millions de gens qui les sollicitent et se courbent devant eux en croyant voir le Sauveur enfin revenu parce que – parait-il – il était parti je ne sais où. Faut-il être crétin pour croire de pareilles choses

Hier j’ai regarder Lapix parce que
Khatia Buniatishvili était annoncée. Et avant qu’elle soit à l’écran, j’ai dû me farcir Mélenchon et sa mauvaise foi, l’éternel mal-aimé qui répond systématiquement à côté des questions des journalistes, quand il répond, parce qu’en fait il parle seul et s’applaudit en oubliant jamais de préciser à quel point il est mal traité sur les plateaux de télévision, surtout hier chez Lapix où tout le monde s’est mis au garde-à-vous et l’a noyé de flatteries… Et après Buniatishvili -superbe – je suis allé sur Arte où j’ai fais connaissance avec mon collègue, un farouche abstentionniste – nous somme 4 millions – qui a défendu notre point de vue et a justement affirmé que dans cette monarchie nous étions une force politique non négligeable et que c’est nous qui tenions la vérité parce que nous seuls avions le courage de ne pas nous trahir en votant pour des vermines pestiférées.



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