jeudi 16 mars 2017

le puits au fond su jardin @ le conte d’un taré qui a mis un bébé dans une machine à laver…




Je vais vous conter un conte qui n’en est plus un parce qu’il ne se déroule pas dans les imaginations fertiles des penseurs généreux mais dans le gouffre sombre de l’homme qui caractérise bien son comportement primitif et l’immensité de sa connerie générationnelle et sans cesse alimentée par la société que vous avez décidez de faire fructifier en vous rendant aux urnes un jour prochain.

Il était une fois une femme, qui n’a pas voulu dire son âge, qui s’est séparée du père de son enfant – pourquoi avoir des enfants quand on sait que la séparation est devenue généralité et que dans cette époque de brigands, ce ne peut être qu'est un crime ? – et qui s’est acoquinée avec un jeunot – un enfant de 22 ans -, violent, pervers et sadique, pour le plaisir de la copulation intensive. Le jeunot boutonneux, pris d’affection pour le bébé, a soudain voulu le bercer pour calmer ses pleurs provoqués par la terreur qu’il inspire autour de lui, et son esprit imaginatif a choisi le tambour de la machine à laver pour le calmer et le placer dans l’idéale position du fœtus qui – comme vous le savez – est le refuge de plus sûr pour assurer le bien-être de tout ce qui ressent. Et il a appuyé sur le bouton. Le tambour s’est mis à tourner. Bête comme il est, il n’a même pas pensé à fermer le hublot, ce qui aurait donné plus de piment à la scène. La femme – évidemment et comme toujours - ou presque - a laissé faire parce que cette conne n’a pas souhaité provoquer la colère de son bourreau. Et au lieu d’achever la besogne, ces imbéciles ont couru chez le médecin pour demander de l’aide parce que, selon eux, le bébé s’était blessé en tombant. J’avance. Ils ont été arrêtés  par la police et mis en examen. Si le connard a été envoyé derrière les barreaux, la femme a été remise en liberté sous contrôle judiciaire, ce qui est une injustice et une aberration. Madame est complice d’avoir laissé faire, complice d’avoir menti, complice d’avoir peur du monstre avec qui elle copule, coupable d’avoir fait rentrer cette chose dans sa vie.

Mon conte s’arrête ici…

Voici le conte conté par des journalistes... scribouilleurs : 



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