samedi 11 mars 2017

je solaire les pentes futiles...




je solaire les pentes futiles
qui coulent dans les boyaux
je fils sans l’élastile
surtombe dans le bourbaux

je nombril la branche forgée
agrippente par millions
des tétons sanitorgés
où coule le laid à foison

je suis pieux unique
je maître la ronde embrisée
je folie le pathétique
je soufflet sur la cendrée



hG

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