Ce matin, l’histoire est le conte de
fée-réalité par où passe toujours sans le vouloir – c’est évident – beaucoup de
ces gens – des femmes jeunes principalement mais aussi beaucoup de jeunes hommes
- avec où sans talent pour construire leur avenir radieux illuminé par les
projecteurs de la célébrité et du monde crasseux des lieux secrets des grands
poisseux fricards et pervers qui mènent le monde par le bout du nez. Et
certaines, depuis peu de jours racontent, parlent aux radios et télés, inondent
les médias de leurs aventures rocambolesques sexuelles avec un gros porc qui
les a portées à l’écran sous condition. Pour beaucoup d’entres-elles, elles
savaient. Et pourtant elles y sont allées. C’est terrible ce rapport éternel de
la réussite et du sexe, d’autant que les baisés ce ne sont que les fans des
soi-disant vedettes, stars flamboyantes qui ne seraient rien sans ces malades
de la violence sexuelle qui sont connus de tous mais qu’on ne peux toucher
parce que le réseau est immense et que beaucoup pourraient tomber et que, surtout
peut-être, l’économie de la profession, voir du pays, risquerait fort d’y
perdre quelques plumes.
Je compatis mesdames et je ne compatis pas vraiment parce que les responsabilités sont de chaque côté à 100%, et de plus, ce n’est pas mon problème, moi qui ne croit pas aux paillettes même obtenues par le sexe. Et je vous rappelle, si vous le permettez : « Pour vivre heureux, vivons cachés ! ».
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