vendredi 6 octobre 2017

dissonance @ cours extrait de l’intégrale…





jarretières des péquenots proxénètes d'étreintes désespérées que tu empestes et craches déprise un désert ceinturé de migrants langue parle dans ton angoisse où s'éternisent les ressacs s'effraye en viande noire criard j’orgasme avec épuise l’épiderme aux abysses d’un cimetière grillagé par la des narcoses les yeux en déséquilibres mirages d’un corps poussée du ventre s'écarte c'était prévisible conan agite chairs prises ventre rond qui a engrossé une mandarine un cratère et je suis enfoui mer sans avaler ta l'interminable flou qu'à elle je subjugue j’étais t des trognons ma tûte la philosophie des appétits du corps sature le ventre jouissant qui altère l’amour assisté les nanas roulées comme les cuvettes chaotiques tonsurent la mousse expansée d'la rate ecorps des sucées rematent au vent tartine ma bedaine l’imparable fente dégurgitée une gale dégoûte, silhouette sans hâte ni frein l'homme grandiloque d'abjectifs les souffleries le statufient par l'estrade des génies cercle l'apathie cette négation d'Edward D. Wood rictus incapable d'érections irritables sans lest ils sont le vers ne le palpe pas de salopards patauge en pleine panse c'est drôle un cratère les polisseur d'autrefois les corps qui s'entregrappent de la grappe des corps père échaudé le rmi te consacr’homme émasculé ça tilte ça dans brouhaha une cochonne un nœud à la queue dénature les…

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