Un peu gonflé (ex)Roi
François. A peine a-t-il dit au revoir – pas adieux – à Roi Macron, son fils et
successeur, qu’il file au siège du PS dont on nous avait dit qu’il était mort
mais pas enterré. Il est allé se recueillir sur le cercueil de son enfant qu’il
a tué. Il a prononcé un discours pour l’inciter à ressusciter parce qu’il en
aura besoin dans cinq ans, quand la France devra renouveler son Roi. Il aurait
pu attendre quelques heures par simple courtoisie envers son successeur et
désormais rival.
Si Roi Macron a gardé
toute la journée - de plus sous les caméras – le ton solennel qui sied à la
fonction suprême en se déplaçant d’un pas lent et en gardant le visage
robotisé, il est amusant – et révélateur – que lorsque son prédécesseur l’a
quitté dans la cour de l’Elysée, il s’est retourné et a repris sa marche
pesante vers l’escalier de l’entrée du palais et que tout d’un coup, a
trottiné tout guilleret en gravissant les marches. C’était joli et rigolo. Il
avait un besoin – il pensait sans doute à son prédécesseur Napoléon – impérial
de se dégourdir les jambes…
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