Le Roi de France a dit : « On
a tous en nous quelque chose de Johnny ». Désolé Roi, en moi il n’y a rien
de lui. D’autres on dit – sur France Inter réquisitionné – que le mort décédé
était un surhomme. Désolé les autres, pour être surhomme il faut déjà être
homme. Et des hommes, j’en connais peux. En tous les cas celui-là ne fait pas
parti de mon Panthéon. Je ne peux me résoudre à comparer cette idole à ceux qui
ont fait bouger l’humanité : Freud, Wagner, Hitchcock et le bien vivant
encore Lynch…
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