lundi 4 décembre 2017

le puits au fond du jardin @ coupables et coupables…




Dans les sombres et sinistres affaires des porcs et des truies, les ambiguïtés sont de plus en plus présentes, parce qu’au fil des accusations et du temps qui passe, la pensée évolue et voit plus profondément. L’exemple du chef d’orchestre Levine est significatif bien qu’il s’agisse d’une affaire de porc et de porc. La victime - un garçon âgé de 15 ans - aurait été harcelée et violée durant 8 ans, sans avoir eu l’idée de dire « non ». Et c’est 33 ans plus tard, à l’âge de 45 ans, qu’elle porte plainte contre son bourreau. Si je ne mets pas sa parole en cause, je suis en droit de poser la question qui trouve toujours la réponse facile et passe-partout en évoquant le traumatisme paralysant qui se transforme en mutisme et en honte coupable qui inverserait l’ordre des choses.  Non ! Cela suffit. Ne pas dire « non », c’est être complice donc coupable. Se laisser humilier n’est que de la lâcheté qui profite à tous les détraqués. Ne pas dire « non », c’est accepter la condition animale de l’homme, c’est lui accorder le quitus pour agresser toutes les populations. La justice ne peut plus se contenter de condamner – quand ça lui chante – l’agresseur. Elle doit aussi condamner – au moins symboliquement – l’agressé(e) qui n’a pas su dire « non » au bon moment et qui ne peut être pardonner pour ce manque de civisme. Mesdames, au lieu de chercher à séduire, de vous dégoter un mari et de pondre des misérables marmots – pondre est un crime -, apprenez à vous respecter en allant voir Freud, cette pensée que vous détester tant parce qu’on vous en a appris le danger : devenir libre ! Idem pour les porcs-hommes, qui eux aussi sont agressés en permanence par leurs femmes-maîtresses-épouses-truies…   


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