Dans les sombres et sinistres
affaires des porcs et des truies, les ambiguïtés sont de plus en plus présentes,
parce qu’au fil des accusations et du temps qui passe, la pensée évolue et voit
plus profondément. L’exemple du chef d’orchestre Levine est significatif bien
qu’il s’agisse d’une affaire de porc et de porc. La victime - un garçon âgé de
15 ans - aurait été harcelée et violée durant 8 ans, sans avoir eu l’idée de
dire « non ». Et c’est 33 ans plus tard, à l’âge de 45 ans, qu’elle
porte plainte contre son bourreau. Si je ne mets pas sa parole en cause, je
suis en droit de poser la question qui trouve toujours la réponse facile et
passe-partout en évoquant le traumatisme paralysant qui se transforme en
mutisme et en honte coupable qui inverserait l’ordre des choses. Non ! Cela suffit. Ne pas dire
« non », c’est être complice donc coupable. Se laisser humilier n’est
que de la lâcheté qui profite à tous les détraqués. Ne pas dire
« non », c’est accepter la condition animale de l’homme, c’est lui
accorder le quitus pour agresser toutes les populations. La justice ne peut
plus se contenter de condamner – quand ça lui chante – l’agresseur. Elle doit
aussi condamner – au moins symboliquement – l’agressé(e) qui n’a pas su dire
« non » au bon moment et qui ne peut être pardonner pour ce manque de
civisme. Mesdames, au lieu de chercher à séduire, de vous dégoter un mari et de
pondre des misérables marmots – pondre est un crime -, apprenez à vous
respecter en allant voir Freud, cette pensée que vous détester tant parce qu’on
vous en a appris le danger : devenir libre ! Idem pour les porcs-hommes,
qui eux aussi sont agressés en permanence par leurs femmes-maîtresses-épouses-truies…
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