« Il y en a certains, au lieu de foutre le bordel, ils
feraient mieux d'aller regarder s'ils peuvent avoir des postes là-bas. Parce
qu'il y en a qui ont les qualifications pour le faire ». Pour les naïfs,
il ne peut que s’agir de propos de charretiers, de macros, de souteneurs, de
drogués, où d’autres malotrus du genre. Et bien non ! Il s’agit de la
parole du Roi de France, un enfant dézingué, un malade qui devrait courir à
toutes jambes chez Freud. Foutre de bordel, ce connard commence vraiment à faire
chier. Ça c’est de moi. Je me hisse à la hauteur du Roi.
Et il s’agit encore de Roi. Celui de la monarchie espagnole. Pas le faux, soi-disant élu par le peuple (rires), mais le vrai, le petit-fils de Charles-Quint et de Philippe II, le tyran qui a voulu tuer son fils Don Carlos - parce que celui-ci copulait avec sa douce femme Elisabeth épousée de force et vendue par son père Henri II, Roi de France au vieil Empereur salopard - au non de ce Dieu inexistant. Il s’agit donc de ce Roi d’Espagne, censé être le Roi – pour la fiction – de tous les citoyens, qui a tenu un discours outrageant pour tous les gens épris de liberté dans cette contrée que l’on appelle la Catalogne. Là-bas, c’est comme ici. Une monstre hideux, baveux, crasseux, gouverne le pays…

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