La maire UDI de Saint-Brieuc
(Côtes-d'Armor), Marie-Claire Bouron, et son équipe ont découvert, dans la nuit
de lundi à mardi, des affiches l'accusant d'avoir "baisé" pour
arriver à son poste. La délation est enclenchée – il y a délation tant qu’il
n’y a pas de preuves - parce que quelques grosses connes ont décidé – et que la
meute suit - que les hommes étaient des gros cochons de porcs. Quand on ne veut
pas que la forêt brûle, on ne craque pas l’allumette. On règle ses affaires de
mœurs, même les plus insignifiantes, avec la dignité que le porc ne connaît
pas. On la règle dans l’instant en lui mettant son poing dans la gueule ou en
courant au commissariat de police. Et si la police se moque, on porte plainte
contre les porcs qui la composent. Et si on a pas le courage de pratiquer la
violence justifiée ou la dénonciation légale – ce qui est tout à fait
compréhensible -, on parle tout de suite en informant ses amis, ses voisins, les
réseaux sociaux et tout ce qui est possible et on actionne la machine…
Une histoire cochonne vraie pour terminer ce tube matinal et pour illustrer « humoristiquement » - ben… à vous de juger - mon premier paragraphe : hier, alors que je me promenais dans ma ville de Twin Peaks, Place « Agent Cooper du FBI », je vois un porc et une truie se chamailler. Ce qui m’a choqué, c’est qu’ils portaient des vêtements. Avez-vous déjà vu dans une porcherie, des animaux aussi sales, porter des vêtements ? Le ton est monté quand la truie s’est jetée sur le porc, lui a baissé son pantalon et a extrait son énorme zizi plus gros et plus raide qu’un tronc de chaîne centenaire. Et de suite elle l’a porté – le zizi – sous sa jupe. Je ne sais pas ce qu’elle a fait mais elle a poussé un cri de joie triomphant(e) tout en ressortant l’effroyable engin et inondant la place d’un produit blanchâtre et collant. C’est sûr que je n’ai pas tout compris. Mais il était l’heure de rentrer à la maison, sinon j’allais me prendre une raclée. Ma truie n’est pas commode et comme je suis un vieux con de porc, je m’en accommode… jusqu’à ce qu’elle ne me tue. Mais je crois que je vais le faire avant…
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