jarretières des péquenots proxénètes d'étreintes désespérées que tu empestes et craches déprise un désert ceinturé de migrants langue
parle dans ton angoisse où s'éternisent les ressacs s'effraye en viande noire
criard j’orgasme avec épuise l’épiderme
aux abysses d’un cimetière grillagé par la des
narcoses les yeux en déséquilibres
mirages d’un corps poussée du
ventre s'écarte c'était prévisible conan
agite chairs prises ventre rond qui a engrossé une mandarine un cratère et je suis enfoui mer sans avaler ta l'interminable flou qu'à elle je subjugue j’étais t des trognons ma tûte la philosophie des appétits du corps
sature le ventre jouissant qui altère l’amour assisté les nanas roulées comme les cuvettes chaotiques
tonsurent la mousse expansée d'la rate ecorps des
sucées rematent au vent tartine ma bedaine l’imparable fente dégurgitée une gale
dégoûte, silhouette sans hâte ni frein l'homme
grandiloque d'abjectifs les souffleries le statufient par l'estrade des génies
cercle
l'apathie cette négation d'Edward D. Wood rictus incapable d'érections irritables sans lest ils sont le vers ne le palpe pas de salopards
patauge en pleine panse c'est drôle un cratère les polisseur d'autrefois les
corps qui s'entregrappent de la grappe des corps père échaudé le rmi te
consacr’homme émasculé ça tilte ça dans brouhaha une
cochonne un nœud à la queue dénature les…

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