Le 11 octobre 1896, il y a 121 ans
aujourd’hui, décédait à Vienne le compositeur autrichien Anton Bruckner. IL était âgé de 72 ans. Figure éminente du romantisme allemand, sa rencontre avec Richard
Wagner, en septembre 1873, influença la composition de sa 3e symphonie.
Sa musique polyphonique et théologique, à l'orchestration par
blocs différenciés à partir d'une cellule de base, fut desservie par la
critique et un auditoire viennois acquis à la musique de Brahms. Musicien
longtemps incompris, mais défendu par Gustav
Mahler et Hugo Wolf, le « maître de Saint-Florian »
est devenu aujourd'hui un pilier du répertoire symphonique des programmes de
concerts. Perfectionniste, Bruckner composa différentes versions et éditions de
ses symphonies. Pédagogue exigeant quoique considéré comme dévot naïf1, le
compositeur sut exploiter la grandeur de la forme symphonique en poursuivant
l'œuvre de Ludwig van Beethoven2,
forme qui servira son immense foi catholique, la majestueuse symphonie no 9
inachevée, étant dédiée à Dieu…
Alina Ibragimova, Amihai Grosz, Anne
Gastinel, Gijs Kramer and Liza Ferschtman
00:00 Gemäßigt.
Moderato
12:58
Scherzo: Schnell
17:59 Trio:
Langsamer
20:41 Adagio
35:29
Finale: Lebhaft bewegt
Symphony No 7 in E Major by Anton
Bruckner
Allegro moderato
Adagio. Sehr feierlich und sehr langsam
Scherzo. Sehr schnell
Finale. Bewegt, doch nicht schnell
Concertgebouw Orchestra
Eugen Jochum conductor
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