mercredi 9 août 2017

les écureuils de central park, sans isuue…




Il me reste quelques images de ma nuit mouvementée. La ville, encore elle, me retient prisonnier. La femme sans visage, toujours elle, s’est invitée et notre conversation a été agitée, violente et sans issue. Et chaque fois, elle est une en trois : épouse, mère et fille ! « La solution est dans nos rêves ! » dit la femme à la bûche. Pour qu’il y ait solution, il faut qu’il y ait question…

Où est ma voiture ? Je dois rentrer et vite pour échapper à cette tourmente qui m’enferme entre les murailles du château-fort, dans les ruelles du faubourg. Une ouverture sur la façade d’une vieille bâtisse ? C’est par là que je suis entré dans la ville. C’est donc par là que je devrais retrouver ma voiture et la sortie de cet enclos. Je parcours des escaliers et des couloirs, des pièces immenses et vides. Soudain un barbu sorti des Contes des Milles et Une Nuits me fait signe. Je le suis. Il me montre trois bûches empilées sur lesquelles je dois donner un coup de pieds. Elles sont trop hautes pour ma jambe inexpérimentée. Je n’arrive pas à la lever. Il menace de ne pas m’indiquer mon chemin puis se ravise en me proposant une hache. Je frappe… A côté, un homme boit un verre de vin…


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