J’ai été puni deux fois par Facebook.
La première parce que j’avais posté une paire de seins – d’une dame – extraite
d’un tableau de maître : un jour d’exclusion. La deuxième, parce que
j’avais encore – je suis incorrigible – posté une paire de seins – d’une autre
dame – extraite d’un film, chef-d’œuvre japonais : trois jours
d’exclusion. Hier j’ai été exclu définitivement pour usurpation
d’identité ! Je m’appelle Hervé Gallien, je me suis toujours appelé Hervé
Gallien et c’est bien l’identité que j’ai toujours donnée aux sinistres crétins
de Facebook. Mes 300 amis, mes vidéos des plus grands artistes musiciens et
lyriques, mes tubes contre la société débile, sont partis en fumée. Plus rien…
le néant. Après les instants de découragements et l’envie d’aller faire chier
tous ces réseaux sociaux, je me suis repris. J’ai donné une nouvelle
adresse mail, mon identité – celle qui est sur mon extrait de naissance et sur
ma carte d’identité sur lesquels est écrit en toutes lettres mon nom H.E.R.V.E.
G.A.L.L.I.E.N. - et je me suis réintroduit chez le mécréant censeur Facebook que
j’emmerde abondamment. Et maintenant je n’ai plus qu’à attendre. Apparemment la
gestapo n’y a vu que du feu… pout l’instant !
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